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France : le pays idéal pour monter son entreprise ?

Développer une entreprise est un processus relativement long et délicat. Sans les informations appropriées et une bonne préparation, bon nombre de projets se retrouvent en échec. L’un des problèmes fondamentaux est de trouver une situation géographique favorable pour son entreprise. À cet effet, la France présente de nombreuses qualités et s’avère une destination de premier choix. Découvrir ici les avantages à vous lancer dans l’entrepreneuriat dans l’Hexagone et quelques astuces et recommandations pour mener à bien votre projet de création d’entreprises en France.

En quoi la France est-elle un pays de référence pour installer votre entreprise ?

Le succès d’une entreprise est fortement conditionné par son emplacement. De nombreux pays à travers le monde constituent de véritables mines d’or pour les entrepreneurs. Au nombre de ces pays, la France occupe une place de choix, et ce pour de nombreuses raisons.

La notoriété de la France sur le plan professionnel

La France accueille chaque année de nombreux entrepreneurs et investisseurs français comme étrangers. C’est un pays de confiance qui sert d’ailleurs d’ouverture sur le marché européen. De plus, c’est un état réputé pour fournir des professionnels compétents dans de nombreux domaines d’avenir. La qualification professionnelle y est ainsi très élevée, ne laissant douter aucun entrepreneur.

De plus, la France est en passe de devenir une « start-up nation ». Elle favorise d’ores et déjà l’implantation et le développement de plusieurs start-ups, qui constituent un important maillon de l’économie nationale. Elle met un point d’honneur à accompagner ces jeunes entrepreneurs dans l’atteinte de leurs objectifs.

Les aides à la création d’entreprise et la simplification des démarches

Désormais, monter son entreprise en France est devenu beaucoup plus aisé grâce à des démarches administratives simplifiées et à certaines aides de l’État. Les délais liés aux différentes étapes de création d’entreprise ont en effet été réduits et plusieurs types d’aides gouvernementales existent, en fonction de la situation de chaque entrepreneur.

Les personnes au chômage peuvent par exemple bénéficier de l’ACRE (aide au créateur ou repreneur d’entreprise), une aide pour les aiguiller dans la création de leur entreprise. Toutefois, les aides octroyées par l’État ne se limitent pas à des aides financières. Il y a également des formations qui aiguillent les candidats à l’entrepreneuriat. Ces formations ne sont pas obligatoires, mais elles s’avèrent particulièrement utiles. Elles sont adaptées à l’activité choisie par l’entrepreneur et sont dispensées par des organismes habilités.

Que savoir avant de monter votre entreprise en France ?

Outre les raisons valables de choisir une ville française comme emplacement de votre entreprise, voici l’essentiel à savoir sur la création d’entreprise avant de vous lancer.

L’analyse de votre idée et l’étude de marché

Tout projet de création d’entreprises part d’une idée. Cette dernière fait allusion à ce que vous désirez faire concrètement. Quels seront les objectifs et l’utilité de votre entreprise ? Quelles sont les activités que vous souhaitez proposer ? En répondant à ces questions, vous pouvez déjà voir si votre idée est en adéquation avec votre environnement. Vous serez ainsi en mesure d’avoir un aperçu de ce qui se fait déjà chez vos futurs concurrents, d’affiner votre cible et de mieux adapter votre idée au contexte.

En outre, il est préférable d’opter pour un domaine qui correspond à vos aptitudes personnelles et professionnelles. Le processus de création d’entreprise est long, vous devrez donc vous armer de courage, de patience et de beaucoup de détermination. N’hésitez pas à vous faire épauler par des proches ayant des connaissances en entrepreneuriat ou des entrepreneurs confirmés.

L’élaboration de votre business plan

C’est à partir de l’étude de marché que vous établirez votre business plan. Il s’agit d’une mise à l’écrit de votre projet dans les moindres détails. Il sera donc fait mention de l’activité, du parcours et des prévisions budgétaires (le financement pour démarrer et les revenus espérés après la création). Ce document reprend aussi le statut juridique envisagé.

La recherche de financement et le choix du statut juridique

À partir du business plan, vous avez déjà une idée de ce que devrait coûter l’implantation de votre structure. C’est donc le moment de faire le point de vos finances personnelles et de déterminer votre propre apport. Vous pouvez aussi envisager de demander de l’aide à vos proches ou à votre banque pour avoir un capital conséquent. N’hésitez pas non plus à vous renseigner sur votre éligibilité aux aides financières disponibles.

En ce qui concerne le statut juridique, il en existe une multitude en France. Vous devez choisir le statut qui présente le plus d’avantages pour vous en ce qui concerne la responsabilité et les charges fiscales. Le choix dépend du nombre d’associés que vous aurez, du type de projet que vous monterez et de la manière dont seront exécutées vos activités.

Quelles démarches prévoir pour mettre sur pied votre structure ?

Les étapes précitées concernent essentiellement la préparation à la création d’entreprise. Lorsque votre plan est à présent bien établi, vous pouvez passer à l’installation proprement dite.

La recherche d’un emplacement pour votre entreprise

À moins que votre entreprise ne se situe à votre domicile, vous devrez chercher un lieu approprié. En revanche, si vous effectuez des prestations à domicile directement auprès de vos clients, il n’est pas nécessaire de faire une recherche de locaux. Pour un début, il est possible de s’installer dans une pépinière d’entreprises, un centre d’affaires, ou simplement de louer un local commercial. Vous devez ainsi prévoir un budget conséquent dès l’étape du business plan.

Cependant, toutes ces solutions ne sont que des mesures temporaires. Pour une installation plus pérenne, vous pouvez directement acheter un local ou en faire construire un. Cela vous permettra d’ailleurs d’amoindrir les coûts. Notez qu’il est recommandé de privilégier des zones relativement fréquentées, dans des endroits suffisamment développés comme la région parisienne.

La rédaction et la signature des statuts (non nécessaire pour les entreprises individuelles)

Pour réaliser cette tâche, il est recommandé de se faire accompagner par un avocat ou un expert-comptable. Le contenu des statuts d’une entreprise dépend en grande partie du statut juridique choisi. Ces statuts doivent comporter les indications indispensables au bon fonctionnement de votre structure, en plus des mentions légales obligatoires. Vous pouvez également commencer à rassembler les pièces constitutives du dossier de création d’entreprise. Les pièces à fournir varient selon le statut juridique choisi.

Les démarches administratives

En premier lieu, vous devez publier une annonce dans un journal d’annonces légales pour témoigner de votre intention d’ouvrir une entreprise. Vous devez ensuite déposer votre dossier de création au greffe dont dépend votre entreprise. Il est d’ailleurs possible de soumettre son dossier en ligne sur un site agréé par le gouvernement français.

Quelques jours après, vous recevrez l’immatriculation au RCS (Registre du Commerce et des Sociétés) de votre entreprise et la confirmation de son ouverture. Cela se traduit par l’obtention de l’extrait Kbis, de même que les numéros SIRET et TVA.

Faites découvrir votre entreprise

Une fois votre entreprise créée et implantée, vous devez à présent en faire la promotion. La première étape est de créer un site internet et de l’optimiser convenablement. Il faut ainsi prévoir de soigner le référencement de votre site ainsi que de vos campagnes publicitaires. Vous pouvez aussi envisager l’utilisation des réseaux sociaux, du street marketing, des promotions et bien d’autres activités pour attirer le plus de clients et les fidéliser. Dans tous les cas, veillez à inclure les frais liés à cette communication dans votre budget de démarrage d’activité de votre activité.

Le point sur le statut d’auto-entrepreneur et la micro-entreprise

Jusqu’en 2016, le statut d’auto et de micro entrepreneur étaient deux notions bien distinctes. Ces statuts étaient attribués à des entrepreneurs individuels. L’auto-entrepreneuriat était beaucoup plus avantageux, car ce statut offrait deux régimes simplifiés (micro-social et micro-fiscal simplifiés). Le micro-entrepreneuriat était quant à lui soumis à l’impôt sur revenu (IR) et au régime des travailleurs de type indépendants.

Depuis le 1er janvier 2016, conformément à la Loi Pinel, ces deux statuts ont fusionné pour devenir le statut de micro-entreprise. Ce statut est soumis aux régimes micro-social et micro-fiscal. Les entrepreneurs ayant ce statut peuvent choisir de payer leur impôt sur le revenu par mois ou par trimestre. Il s’agit du versement libératoire.

L’avantage de cette fusion est qu’elle a permis de raccourcir et de faciliter la création d’entreprise en France pour les entrepreneurs individuels. Ces derniers n’ont plus à choisir entre ces deux statuts. De plus, ils bénéficient d’une franchise en base de TVA sous certaines conditions.

Zoom sur la création d’entreprise en Europe

Depuis plusieurs années, l’UE (Union européenne) milite pour faciliter la création d’entreprises dans tous les pays de son territoire. À l’instar de la France et des autres pays de l’Union, l’Islande, la Norvège ainsi que le Liechtenstein bénéficient tous de cette politique d’assouplissement. Au nombre des normes établies pour faciliter l’arrivée des entrepreneurs, il y a le délai de la procédure de création qui est fixé à trois jours.

En ce qui concerne les frais de création, l’Union européenne invite les pays membres à ne pas dépasser la barre des 100 euros. De plus, il est permis d’effectuer les démarches de création en ligne pour gagner du temps. Toujours dans le souci de faciliter la création d’entreprise, toutes les démarches peuvent être effectuées auprès d’un seul et unique organisme.

Le marché européen ouvre ses portes à tous les statuts juridiques pour la création d’une entreprise, d’une société et même d’une filiale. Quel que soit le pays de l’UE que vous choisissez pour implanter votre structure, vous bénéficiez à la fois de l’accompagnement et du suivi nécessaire. Notamment en France, vos démarches sont facilitées, raccourcies et très souvent subventionnées.

Motion design, effet de mode, ou expertise durable ?

Le Motion design est une technique spécifique que beaucoup de professionnels utilisent aujourd’hui pour concevoir et mettre en mouvement des images et différentes formes géométriques. Il s’agit d’une activité qui exige d’avoir des connaissances et compétences particulières, ainsi qu’une grande créativité. Grâce au Motion design, vous pouvez obtenir une vidéo de haute qualité si les étapes de création et de réalisation sont bien respectées. Pourquoi y a-t-il autant d’engouement autour de cette technique ?

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Réaliser une opération de marketing en point de vente

Stratégies permettant d’accroître la notoriété d’une marque, mais aussi de développer son chiffre d’affaires, les opérations de marketing sont nécessaires à l’évolution des entreprises. Elles optimisent la mise en contact du client et du produit. De ce fait, elles doivent être bien élaborées pour engendrer les effets escomptés.

comment réussir son opération marketing en point de vente ?

L’importance de la préparation

Pour être une réussite, une opération de marketing en point de vente doit être bien pensée et surtout bien préparée. En effet, sans de telles démarches, il vous sera difficile d’atteindre vos objectifs, mais aussi de conquérir le cœur de nouveaux prospects.

En clair, une bonne préparation vous permettra de mettre au point de nombreux arguments de vente pour convaincre plus facilement vos potentiels clients. Plus encore, elle permet aussi de regrouper des informations fiables sur les clients et prospects. Grâce à ces renseignements, il vous sera possible de définir ou de concevoir des produits et services correspondants à leurs besoins pour mieux les attirer.

D’un autre côté, bien préparer une opération de marketing en point de vente permet de gagner en confiance, mais facilite aussi les prises de contact. Vous pourriez ainsi aborder avec plus de facilité de nombreux prospects et mieux leur exposer vos arguments de vente.

En somme, une préparation adéquate vous permettra de mieux valoriser l’image de votre entreprise ou encore de laisser une bonne impression à vos prospects ou clients. Cela les mettra non seulement en confiance, mais ouvrira également la voie aux négociations prometteuses. De plus, cela suscitera en eux un sentiment d’attachement ou de sympathie qui permettra de mieux les fidéliser aussi longtemps que possible.

L’importance de faire appel à un professionnel pour se faire accompagner

La réalisation d’une opération de marketing en point de vente nécessite de nombreuses implications. Certaines d’entre elles peuvent nécessiter le recours à des collaborateurs extérieurs. Il peut s’agir, à titre d’exemple, d’un fabricant plv qui saura confectionner des affiches qui valoriseront vos différentes offres de produits ou services.

En effet, ces prestataires sont en mesure de confectionner toutes sortes de supports de communication pour permettre à n’importe quelle entreprise de réussir ses opérations de marketing. Ils sont entre autres capables de les concevoir en carton, mais aussi en différents formats, tailles et visuels.

Pour produire les résultats escomptés, les PLV doivent notamment présenter des visuels agréables et porter des messages clairs et concis. De plus, elles doivent être visibles depuis une certaine distance pour attirer les prospects qui ne sont pas situés à proximité de vos points de vente.

Ces professionnels sont en mesure de concevoir des stands, des box ainsi que des supports grand format. Vous pouvez leur confier la réalisation de vos comptoirs, de vos displays, de vos totems ou encore de vos packagings. Ils peuvent les personnaliser dans le strict respect de vos exigences. En clair, ils vous fourniront des prestations sur mesure qui boosteront l’ensemble de vos actions et vous feront acquérir plus de prospects.

Par ailleurs, ces experts sauront aussi vous prodiguer des conseils qui vous aideront à prendre de meilleures décisions et à optimiser le coût de vos différentes opérations. De quoi vous faire économiser.

En somme, que ce soit pour la fabrication des PLV ou pour toute autre chose, l’aide d’un professionnel vous sera indispensable pour réussir vos différentes opérations de marketing en point de vente. Il vous offrira des solutions adéquates ou adaptées à la hauteur de vos événements. Qui plus est, il pourra vous fournir des supports publicitaires conçus avec des matériaux naturels et entièrement recyclables. De quoi limiter la production de certains déchets et vous permettre d’être une entreprise écoresponsable. Finalement, cela rehaussera votre image auprès des consommateurs qui privilégieront votre entreprise pour la satisfaction de leurs besoins.

5 indicateurs email marketing que vos commerciaux devraient suivre

L’animation sur les points de vente

Il s’agit également d’un point à ne pas négliger pour réussir ses opérations de marketing en point de vente. En effet, une bonne animation rendra vos stands plus attrayants, mais aussi plus chaleureux. Elle vous aidera donc à mieux capter l’attention des consommateurs en plus de leur donner l’envie de mieux découvrir vos produits et services.

D’un autre côté, pour être efficace, une animation doit parfaitement présenter vos produits et utiliser des images et des sons qui peuvent facilement les décrire. En clair, il doit exister une harmonie entre ces différents éléments pour permettre à vos potentiels clients de mieux mémoriser votre marque.

En outre, pour une prestation plus aboutie, vous pouvez faire appel à des animateurs professionnels ou formés aux particularités de vos produits et services. Il est d’ailleurs recommandé de privilégier ces animateurs, car ils sauront mieux présenter vos produits et les valoriser davantage.

Par ailleurs, il est aussi primordial de ne pas négliger l’animation de votre site marchand, car il peut également servir à transformer vos cibles en véritables clients. Pour être attrayant, votre site doit notamment contenir des informations essentielles et être bien conçu. Mieux, vous devez mettre tout en œuvre pour réussir son référencement et créer des supports publicitaires à diffuser sur des plateformes spécialisées.

À noter qu’il existe de nombreux formats en matière d’e-publicités (carrés, rectangles, bandeaux…), ils peuvent être dynamiques, déroulants ou statiques. Vous pouvez donc les varier autant que possible pour ne pas fatiguer ou lasser les internautes.

Mettre en place des systèmes pour attirer les prospects

Pour mieux inciter les visiteurs à consommer vos produits, vous devez leur proposer des offres qui pourront suffisamment les motiver. À titre d’exemple, vous pouvez mettre à leur disposition, des offres proportionnelles, des réductions de prix ou leur offrir des échantillons de vos produits.

Par ailleurs, pour obtenir plus de succès, proposez ces mesures à vos différentes cibles ou aux consommateurs qui pourront acquérir plus tard vos produits. En effet, ces mesures incitatives peuvent aussi attirer des non-consommateurs, ce qui peut éventuellement fausser la plupart de vos prévisions.

Toutefois, en ayant recours aux bons arguments, vous pouvez amener ces consommateurs à s’intéresser véritablement à vos différents produits. Cela vous permettra donc de gagner plus de prospects et de réaliser finalement un chiffre d’affaires plus important.

5 indicateurs d’email marketing que chaque vendeur devrait suivre

Faire des campagnes d’emailing c’est bien, mais s’assurer de leur performance, c’est encore mieux. Pour cela, il faut savoir sur quelles mesures s’appuyer pour établir une analyse de vos emails marketing. C’est pourquoi nous allons voir quels sont les principaux indicateurs de performances clés qui vous donneront un suivi pertinent de vos performances et vous permettront d’améliorer la rentabilité de vos campagnes marketing.

5 indicateurs email marketing que vos commerciaux devraient suivre

1. Le taux d’ouverture

Le taux d’ouverture est l’indicateur le plus simple et le plus essentiel en emailing pour comprendre dans quelle mesure vos abonnés reçoivent vos messages. Pour calculer le taux d’ouverture il faut tout simplement faire le rapport entre le nombre d’abonnés qui ont ouvert l’e-mail que vous avez envoyé et ceux qui l’ont reçu.

La plupart des campagnes par e-mail ont en moyenne un taux d’ouverture aux alentours des 25 % donc un abonné sur 4 qui ouvre le mail. Si vous gérez une campagne avec des taux d’ouverture plus élevés que cela, vous savez alors que votre liste de contacts est plutôt pertinente et que vos intitulés de mails sont convaincants.

En dessous de cette valeur moyenne, il faut se poser des questions sur vos accroches de mails et le déroulé de votre campagne.

2. Le taux de clics

Le taux de clics mesure le pourcentage de personnes qui ont cliqué sur des liens figurant dans votre e-mail. Par exemple, si vous avez inclus un lien vers un de vos produits, le taux de clics mesure alors le pourcentage d’abonnés ayant cliqué sur ce lien et atteint la page de ce produit.

Un taux de clics moyen se situe autour des 4 à 5 %. Cela reste toutefois une donnée avec beaucoup de volatilité, car vous pouvez avoir des taux de clics bien plus importants pour les mails qui annoncent de grosses promotions ou des nouveautés importantes.

En revanche, un mauvais taux de clics signale souvent des boutons d’appel à l’action mal positionnés ou peu visibles dans votre mail. Cela peut aussi dénoter un argumentaire de vente peu convaincant. Dans tous les cas, un taux de clics inférieur à 2% doit amener à retravailler son mail en profondeur.

3. Le taux de conversion

Le taux de conversion va plus loin que le taux de clics puisqu’il mesure le pourcentage de personnes qui ont effectué une action spécifique après avoir cliqué sur votre lien. Cela peut être un achat, un remplissage de questionnaire, une inscription, etc.

Le taux de conversion vous donne un aperçu unique de votre retour sur investissement et de la pertinence de votre campagne d’email marketing. En dernier ressort, c’est le seul indicateur qui va vous permettre de comparer les fruits récoltés avec ce que vous avez dépensé dans votre campagne.

Il faut néanmoins être vigilant sur cet indicateur qui dépend beaucoup de la qualité de l’offre que vous faites. Une excellente campagne d’email marketing ne pourra pas faire vendre un produit perçu par vos prospects comme non qualitatif ou trop cher.

4. Le taux de rebond

Lors de l’envoi d’une campagne d’email marketing, il est important également de suivre le taux de rebond. Le taux de rebond mesure le nombre d’adresses email d’abonnés qui n’ont pas reçu votre e-mail et il est fourni automatiquement par tout bon logiciel d’emailing.

Mesurer le taux de rebond vous donnera une idée plus solide de la qualité de vos listes d’abonnés. Si vous avez un pourcentage élevé de rebond, votre liste peut être pleine de fausses adresses e-mail, d’anciennes adresses e-mail ou d’adresses contenant des erreurs.

Vous pouvez réduire vos taux de rebond de manière préventive en exigeant un double opt-in, qui demande aux abonnés de vérifier leur adresse email et de confirmer qu’ils souhaitent recevoir des emails de votre marque. Une exigence de double opt-in est un excellent moyen pour garantir des listes de diffusion de meilleure qualité et des taux de rebond inférieurs. Une liste d’abonnés est précieuse et pour garantir sa sécurité ainsi que sa fiabilité, utilisez toujours des outils de cybersécurité comme un VPN. Vous trouverez des essais gratuits de VPN qui vous permettront de choisir le prestataire adapté pour protéger votre connexion et vos données.

Quoi qu’il en soit, réduire son taux de rebond est un travail à faire en permanence, car il évite de dépenser de l’argent en pure perte dans des mails qui n’arrivent jamais à leurs destinataires.

5. Le taux de désinscription

Le taux de désinscription est tout simplement le pourcentage de personnes qui se désabonnent de votre liste à la suite d’un mail par rapport au nombre de destinataires.

Les forts taux de désinscription peuvent signaler des mails perçus comme trop agressifs ou des séquences de mails trop rapprochées. Il faut alors essayer de corriger le tir et de faire baisser ce taux.

En revanche, avoir des désinscriptions est normal et c’est même un signe d’amélioration de votre liste d’abonnés. Des personnes peuvent en effet se désinscrire, car elles ne se sentent pas concernées par vos produits et services. Ceci rendra votre liste plus pertinente et contribuera à améliorer les autres indicateurs comme le taux d’ouverture ou le taux de conversion.

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Comment réussir sa domiciliation en Suisse ?

La domiciliation en Suisse est une pratique qui attire de nombreux créateurs d’entreprise. Ce pays est en effet considéré comme l’un des plus grands centres d’affaires d’Europe et permet aux professionnels qui s’y établissent de profiter de nombreux avantages en matière de développement d’activité.

Se domicilier en Suisse est particulièrement indiqué pour les sociétés nouvellement constituées, les sociétés patrimoniales de type holding et les entreprises qui veulent avoir un siège social et des sites d’exploitation distincts. Pour réussir sa domiciliation, il y a toutefois des impératifs à respecter. Il est important de s’informer au préalable sur ce qu’implique cette option et sur la meilleure solution à adopter pour faciliter la démarche, telle que le recours à une société fiduciaire.

Domiciliation d’entreprise en Suisse : les formalités

La première étape de la domiciliation en Suisse consiste à s’inscrire au registre du commerce ou RC, qui répertorie les informations relatives aux entreprises domiciliées en Suisse. Il est encadré par l’Ordonnance sur le Registre du Commerce (ORC). Il s’agit d’une obligation sauf pour les entreprises dont le chiffre d’affaires annuel est en dessous de 100 000 CHF.

L’inscription s’effectue en ligne via la plateforme Starbiz pour les entreprises en commandite, en nom collectif ou de raisons individuelles. Les sociétés de capitaux quant à elles (les SA, les SARL), doivent passer par un notaire car la rédaction des statuts est nécessaire.

Pour s’enregistrer au RC, l’entreprise doit préciser sa dénomination sociale incluant le nom de famille du propriétaire et celui d’un des associés au moins, pour les sociétés en nom collectif ou en commandite. La mention SA » doit être expressément précisée pour ce type de société. Attention, la raison sociale est vérifiée par le bureau du canton pendant la mise en œuvre des procédures d’inscription au RC.

Les frais d’inscription au RC varient en fonction du type d’entreprise.

Enfin, l’entreprise doit procéder aux déclarations Stampa et Lex Friedrich. La déclaration Stampa atteste que l’entreprise n’envisage d’octroyer ni avantages ni compensation de créances à ses fondateurs. La déclaration Lex Friedrich quant à elle, prouve que l’entreprise n’a violé aucune loi fédérale relative à l’acquisition d’immeubles par des individus étrangers.

Désignation et rôle du représentant en Suisse

La législation en Suisse, et plus précisément le Code des obligations, exige la présence d’un gérant pour les SARL et d’un administrateur pour les SA, et pour toutes les sociétés de capitaux fondées par un entrepreneur non résident, étranger ou suisse sur place. C’est la raison pour laquelle les fiduciaires incluent généralement un mandat de gérant de société en Suisse dans leurs prestations, pour les créateurs d’entreprise qui choisissent de domicilier leur entreprise par ce moyen sur le territoire helvétique.

fiduciaire suisse

Le gérant ou l’administrateur de la société en Suisse a pour rôle d’assurer l’organisation et l’administration de celle-ci. Sa responsabilité couvre tous les sujets qui ne relèvent pas de la responsabilité de l’assemblée générale.

Ses missions s’articulent autour de :

  • La haute direction de la société.
  • L’établissement des instructions nécessaires.
  • La prise de décision d’organisation conformément à la loi et aux statuts.
  • La surveillance des personnes désignées pour gérer partiellement la société et notamment le respect de la loi, des règlements, des statuts et des instructions données.
  • La préparation de l’assemblée des associés et l’exécution des décisions.
  • La fixation des principes de la comptabilité, du contrôle financier ainsi que du plan financier si besoin.
  • L’information du juge en cas de surendettement.
  • La convocation et direction des associés, s’il est le seul gérant de la société. Dans ce cadre, il se charge aussi de toutes les communications aux associés et du dépôt des réquisitions auprès de l’office du registre du commerce.

Les responsabilités du gérant ou de l’administrateur peuvent être engagées en cas de dettes. Cette disposition est prévue à l’article 754 du CO qui précise que le gérant et l’administrateur sont responsables personnellement en cas de dommages et si celles-ci sont le fruit d’une négligence ou d’un manquement intentionnel de leur part.

Il est d’ailleurs du devoir de ces derniers de toujours protéger fidèlement les intérêts des actionnaires et de l’entreprise dans le cadre de leur mandat.

Pour toutes ces raisons, il est très important de faire appel à un représentant de confiance et qui justifie aussi de toutes les compétences nécessaires pour la représentation de la société auprès de l’administration en Suisse.

Faire appel à une fiduciaire pour la domiciliation

La société fiduciaire est une des solutions les plus sûres pour réaliser la domiciliation de son entreprise en Suisse dans les règles.

Le fiduciaire est une société qui œuvre dans l’aide à la création et l’administration d’entreprises en Suisse. Il propose aussi des services relatifs au conseil fiscal et juridique pour les entrepreneurs qui décident de faire affaire sur le territoire helvétique.

Le recours au fiduciaire pour la domiciliation en Suisse permet de profiter de nombreux avantages et notamment la possibilité de signer un contrat de domiciliation. Étant donné que cette démarche n’est pas réglementée en Suisse, ce document permet de définir clairement les droits et les obligations respectifs de chaque partie et donc d’encadrer le service.

L’autre avantage de la domiciliation avec un fiduciaire est la facilitation de toutes les démarches, de l’inscription au registre à la recherche de locaux. En effet, ce prestataire s’occupe de toutes les formalités relatives à la fourniture d’une adresse facilement et rapidement.

Les services de domiciliation avec un fiduciaire incluent également d’autres prestations complémentaires qui facilitent la gestion de la société en Suisse. Selon les besoins de l’entreprise, il peut proposer la réception du courrier, des recommandés et des colis, le transfert et le renvoi du courrier par voie postale ou par e-mail, la réception des appels téléphoniques, le renvoi automatique des appels, etc.

Il peut également accompagner le dirigeant dans les formalités de création de la société notamment en le conseillant à propos de la forme juridique la plus avantageuse ainsi que de l’accomplissement des formalités auprès de l’administration (ouverture de compte bancaire, dépôt du capital, inscription auprès du registre du commerce, etc.). Sans oublier que le fiduciaire est aussi habilité à proposer ses services de représentation afin que l’entreprise puisse disposer d’un administrateur ou d’un gérant de confiance auprès des administrations communales ou cantonales et de ses créanciers.

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